Samedi 28 avril, 14h30 Salle du Grand large Concert

Quatuor Modigliani

Programme

Giacomo Puccini (1858-1924), Crisantemi
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), Quatuor n o 19 en ut majeur K. 465
« Les Dissonances »
Entracte
Camille Saint-Saëns (1835-1921), Quatuor n o 1 en mi mineur opus 112

Présentation

« Le Quatuor Modigliani fait partie à l’évidence de la cour des grands », pouvait-on lire dans Le Monde. De fait, invité dans des lieux très presti-gieux comme le Théâtre des Champs-Élysées, la Philharmonie de Paris, le Musikverein et le Konzerthaus de Vienne, invité également à Berlin, Londres, Zürick, New York, ce quatuor fondé en 2003 s’impose sur tous les continents. Dès ses débuts, il a enchanté ses pairs, recevant le Premier Prix des concours d’Eindhoven 2004, Vittorio Rimbotti de Florence 2005, Young Concert Artists Auditions de New York 2006. Sans compter qu’il a en outre enregistré sept disques avec le label Mirare en huit ans, dont les trois quatuors de Schumann en 2017.

Un quatuor qui s’arrête donc à Saint-Malo, avant de partir au Japon, en Corée, aux États-Unis et à travers toute l’Europe, du Wigmore Hall à l’Elbphilharmonie… Signalons que, grâce au soutien de généreux mécènes, les musiciens ont le privilège de jouer de magnifiques instruments italiens. Ainsi Amaury Coeytaux joue un violon de Guadagnini 1773 et Loïc Rio un violon d’Allessandro Gagliano 1734 ; Laurent Marfaing joue un alto de Mariani 1660 ; et François Kieffer un violoncelle de Goffriller « ex-Warburg » 1706. Les quatre hommes ont pris la direction artistique des festivals de Saint-Paul-de-Vence en 2011 et des légendaires Rencontres Musicales d’Évian depuis 2014, autrefois dirigées par Rostropovitch.

(*) Sur présentation d'un justificatif.

Samedi 28 avril, 10h30 La Rotonde Concert

Ensemble de violoncelles

Programme

Jean-Philippe Rameau (1683-1764), petite suite extraite de Hippolyte et Aricie (tutti)
Johann Sebastian Bach (1685-1750), air de la Suite en ré (tutti)
Joseph Bodin de Boismortier (1689-1755), Adagio – Allegro (tutti & solistes)
Johannes Brahms (1833-1897), deux valses (8 ou 12 violoncelles)
T. Holland, Cortège (8 ou 12 violoncelles)
Heitor Villa-Lobos (1887-1959), air des Bachianas brasileiras n° 5 (soprano & 8 violoncelles)
Gabriel Fauré (1845-1924), Fugue (tutti)
Erik Satie (1866-1925), Première Gymnopédie (tutti)
Goran Bregović (1950), Kustino Oro (tutti)

Présentation

Rameau, Bach, Brahms, Faure, Satie… On ne saurait mieux annoncer, avec ces quelques noms, que le Conservatoire à rayonnement communal (CRC) Claude-Debussy relève tous les défis, et d’abord celui d’enseigner la musique et la danse à Saint-Malo. Une mission menée dans la ligne des orientations pédagogiques fixées par le ministère de la Culture. Son objectif ? Offrir des cursus permettant aussi bien la pratique amateur que l’orientation professionnelle. C’est dans ce contexte que le conservatoire Claude-Debussy accueille les violoncellistes amateurs de la région de Saint-Malo, au sein d’un ensemble qui travaille chaque semaine sous la direction d’Aldo Ripoche.

Autre bel ensemble, celui formé par Les As de Piques. Depuis dix ans, il rassemble des violoncellistes amateurs de tout niveau de la région rennaise. Hébergé par le Conservatoire à rayonnement intercommunal de la Flume (Le Rheu, 35) dans le cadre du « soutien de la pratique amateur », il est dirigé par Anne-Marie Vanheule, professeur de violoncelle de l’école.

Vendredi 27 avril, 20h30 Auditorium Chateaubriand Concert

Orchestre national de Lorraine

Présentation

Ce fut l’un des bonheurs de la fin du XIX e siècle : une « danse symphonique » qui s’appuie sur des airs et des rythmes populaires ! Est-il besoin de rappeler que Dvořák lui-même, compositeur tchèque, inventa pour ses célèbres Danses slaves  des thèmes semblant venir droit du folklore. Puis Bartók connut à son tour le succès avec ses Danses populaires roumaines que l’on pourrait dire plus « primitives ». Quant à Khatchatourian, d’origine arménienne, il utilisait naturellement une langue musicale populaire, comme en témoigne son Concerto pour violon, d’une « rudesse colorée » pleine de vie.

Orchestre national de Lorraine – Cette formation n’a de cesse de cultiver sa dimension internationale, en Allemagne, en Italie, en Angleterre, ou même jusqu’en Corée. Primé à plusieurs reprises, l’Orchestre est aussi capable de jouer avec des artistes de la scène électro.

Jacques Mercier – Chef d’orchestre, c’est un ardent défenseur de la musique française, au talent reconnu, jadis récompensé du Premier Prix du Concours international des jeunes chefs d’orchestre à Besançon, puis du Premier Prix de direction d’orchestre au Conservatoire de Paris. Il poursuit une carrière internationale à Berlin, Salzbourg, Bucarest, Helsinki, Séoul ou Madrid.

Marc Bouchkov – Violoniste, il reçoit ses premiers cours à l’âge de 5 ans, et multiplie aujourd’hui les apparitions avec le Royal Philharmonic Orchestra de Liège, le Moscow Philharmonic Orchestra… Il joue sur un violon de J.-B. Vuillaume (1865) prêté par Mme Brigitte Feldtmann (Fondation Feldtmann Kulturell).

(*) Sur présentation d'un justificatif.